Le déclin de la vitalité masculine : un cri d’alarme pour la survie de la Bretagne

Le professeur canadien Ricardo Duchesne sonne l’alarme : les traits de « vitalité » (V) – courage, agressivité, prise de risque – s’effondrent chez les hommes blancs en Occident ! S’appuyant sur les analyses de Jim Penman dans Biohistory, il révèle que ces qualités, qui ont porté des civilisations comme Rome ou l’Empire britannique lors de leurs conquêtes, sont en train de disparaître. En parallèle, les traits de « contrôle » indispensables au développement de sociétés sophistiquées (C) – retenue, sens de la famille, discipline – faiblissent également, laissant nos sociétés blanches à la dérive.

Duchesne dénonce un double effondrement historique : les hommes blancs, jadis maîtres d’un équilibre unique entre « V » et « C », sont aujourd’hui très affaiblis. Cet effondrement, selon lui, est l’œuvre d’élites « traîtresses » qui sapent notre essence et dévalorisent la masculinité traditionnelle à travers des campagnes abjectes contre la « masculinité toxique », à l’instar de celles relayées par les médias parisiens depuis 2020, et imposent des symboles humiliants tels que les drapeaux arc-en-ciel de l’homosexualité, omniprésents jusqu’au Conseil « régional » de Bretagne. Pire encore, ces élites encouragent une immigration massive, introduisant une vitalité du tiers-monde « irrationnelle et chaotique ».

Sans nouveaux groupes blancs pour rallumer la flamme des cycles civilisateurs, comme les Germains au 5e siècle, Duchesne avertit que l’Occident – et avec lui la Bretagne – deviendra une « proie facile » pour les conquérants étrangers.

L’agonie de la Vitalité Bretonne

La Bretagne, jadis terre de guerriers, ploie sous ce déclin ! Autrefois, notre peuple brillait par sa vigueur : les Celtes résistèrent aux invasions franques au Ve siècle avec une férocité légendaire, comme en témoigne la bataille de Vannes en 469 (Chronique de Grégoire de Tours, 2018), et les succès des rois de Bretagne au 9e siècle. Au Moyen Âge, les Bretons exportaient leurs qualités guerrières jusqu’en Italie où ils étaient très prisés des princes. Au XVIIIe siècle, les Chouans défendirent nos landes contre la Révolution avec un courage indomptable, mobilisant jusqu’à 10 000 hommes en 1793 (Histoire de Bretagne, Skol Vreizh, 2020).

Aujourd’hui, cette flamme de la virilité farouche s’éteint sous l’effet de la domestication française, de l’urbanisation et de la tertiarisation de l’économie. La Bretagne est aussi frappée de dévitalisation et de vieillissement. Les pardons, ces fêtes sacrées qui unissaient nos villages, s’érodent rapidement : à Sainte-Anne-d’Auray, la foule est passée de 6 000 pèlerins en 2000 à 3 200 en 2024, une chute de 47 % (Diocèse de Vannes, 2024). À Locronan, les danses traditionnelles ont perdu 60 % de leurs participants en 15 ans (Association des Fêtes Bretonnes, 2024). Sur le front démographique, l’INSEE (2024) révèle une hémorragie : -12 % d’hommes bretons de 20 à 40 ans entre 2010 et 2023, soit 60 000 âmes envolées, remplacées par une jeunesse étrangère !

L’Assaut des Nouveaux Venants

L’immigration aggrave cette crise. Les communautés musulmanes, passées de 2,5 % à 3,5 % de la population bretonne entre 2015 et 2024 (INSEE, 2024), déploient une vitalité agressive. Les émeutes de juillet 2023 à Brest, où 150 jeunes issus de ces groupes ont défié la police avec des cocktails Molotov (Le Télégramme, 2023), contrastent avec l’apathie des Bretons, incapables de réagir et encore moins de se défendre. La natalité allogène explose : 2,4 enfants par femme contre 1,6 pour les natifs (INED, 2025), menaçant de submerger notre démographie.

Une Histoire de Cycles en Péril

Duchesne rappelle les cycles de renouveau : les Grecs, les Romains, les Germains ont tour à tour porté la civilisation occidentale. En Bretagne, ce flambeau brilla avec les Bretons qui repoussèrent les Francs du 5ème au 9ème siècles, les Vikings au 10ème siècle, les Français au 14ème et 15ème siècle. Mais aujourd’hui, sans relève et affaiblie, la Bretagne sombre.

Par définition, le nationalisme breton est la force virile qui affirme la volonté de domination bretonne, et c’est pour cette raison qu’il est vivement décrié par les médias, acquis à une vision pacifiste et féminine du monde où toute marque de défense territoriale et d’instinct de conservation est conçue comme une agression immorale. Sur ce point, il ne faut pas céder aux campagnes d’intimidation sociales ou médiatiques, et affirmer au contraire un profond instinct de conservation sans lequel il ne pourra pas y avoir de Bretons en mesure de défendre la terre des ancêtres, donc de Bretagne.

Budig Gourmaelon

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By La rédaction

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