Le 2 décembre 2025, Le Télégramme relatait l’assemblée générale de l’Association des Anciens Combattants, Prisonniers de Guerre et Combattants d’Algérie-Tunisie-Maroc – section de Kerien (Querrien). Derrière ce sigle, qui regroupe 36 adhérents (19 anciens combattants, 11 veuves, 6 sympathisants), c’est bien Georges Guilchet, président depuis 2015, qui a pris la parole pour diffuser un prêche particulièrement perfide.
L’homme de 84 ans a profité de la tribune pour exhorter à « sensibiliser la jeunesse face au racisme, au populisme ». Un discours typique de la gauche radicale, copie conforme des éléments de langage qu’on retrouve dans les meetings LFI ou les communiqués du Parti communiste.
À Skaer (Scaër), à quelques kilomètres seulement de Kerien déjà durement touchée pendant la guerre par les actions des maquis FTP communistes, on rappellera les exécutions sommaires de François Toulgoat, Marie-Jeanne Noac’h et Jeanette Laz le 10 août 1944. Après une condamnation par un « tribunal révolutionnaire » composé d’éléments communistes, les victimes, réhabilitées depuis, furent exécutées sommairement à Stang Blanc, non sans que les jeunes femmes, dont l’une d’elles enceinte, soient violées collectivement par les membres du maquis communiste de Kermabat.
Sous le drapeau tricolore de l’ACPG-CATM, le pacifisme sélectif qui a toujours servi de vitrine au marxisme hexagonal ne trompe plus grand monde en Bretagne.
Budig Gourmaelon
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