1er mai à Nantes : l’impunité revendiquée de l’ultra-gauche

Face à la colère grandissante de la population nantaise, l’Etat français avait prétendu vouloir en finir avec la violence de l’extrême-gauche hexagonale établie dans la capitale bretonne. En 2022, Gérald Darmanin, ministre de l’intérieur français, avait annoncé la dissolution de l’organisation d’ultra-gauche « Nantes Révoltée », une dissolution – fait exceptionnel – qui ne fut jamais suivie d’effet.

Visiblement sûre de son impunité, la même nébuleuse anarcho-communiste s’est réunie hier, mercredi 1er mai, pour se livrer à de nouvelles violences de rue contre divers commerces nantais. Sur Twitter, les membres de Nantes Révoltée n’ont pas caché leur proximité avec les évènements.

Au total, l’ultra-gauche a rassemblé environ 200 personnes à Nantes pour se livrer à d’intolérables violences de rue.

La maire franco-socialiste Johanna Rolland a réagi comme à son habitude par une protestation de pure forme, sa majorité comportant des éléments proches de l’ultra-gauche.

Pour rendre Nantes aux Bretons, c’est bien à la constitution d’un mouvement nationaliste fort qu’il faut oeuvrer. C’est en s’attelant à ce travail de salubrité publique que la frange antisociale qui sévit dans notre belle ville de Nantes sera définitivement mis hors d’état de nuire.

Ewen Broc’han

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By La rédaction

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