« La Ville est en désaccord avec l’État : un enfant dans la rue est un enfant vulnérable. L’État doit, via le 115, le mettre à l’abri », a répondu Isabelle Assih à une question posée par le collectif quimpérois « Urgence, un toit pour tous », mobilisé depuis plusieurs semaines pour la mise à l’abri d’une famille de migrants ayant des enfants. Il s’est invité au conseil municipal, jeudi soir, où il a pu s’exprimer dans une forme très cadrée.
Source : Le Télégramme
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Clandestins , aucun droit ! au cas où que la maire les loge chez elle !