Trégor : Gaël Roblin, idiot utile du PCF, poursuit l’agitation pour le compte de la dictature communiste cubaine

Gaël Roblin, ex-terroriste d’ultra-gauche devenu conseiller municipal de Guingamp d’orientation marxiste-léniniste, est désormais un docile compagnon de route du Parti Communiste Français, affinité stalinienne oblige. Ces derniers jours, on a pu le voir en compagnie du député communiste français André Chassaigne à Grâces, près de Guingamp, avec un inévitable drapeau de la tyrannie cubaine en arrière-plan. Objectif : exploiter la crise du système de santé public dans le Trégor à des fins politiques.

Comme à leur habitude, les communistes français procèdent en se dissimulant sous le masque d’une association gigogne créée pour l’occasion, « Urgence Armor Santé Yech’ed mat ». Un nom pour le moins ironique, Gaël Roblin revendiquant souffrir d’addiction à l’alcool (« Yec’hed mat » signifiant « bonne santé » en breton lors d’un toast).

Profitant de la crise des services hospitaliers publics dans le Trégor, Gaël Roblin, qui est également connu comme militant LGBT, poursuit depuis des années la promotion de la tyrannie cubaine avec l’aide de quelques idiots utiles recrutés localement. Une campagne de subversion complaisamment relayée par le média d’état Le Télégramme dont la rédaction locale comporte des éléments d’ultra-gauche.

Pour le régime communiste de Cuba, l’exploitation de ses travailleurs envoyés à l’étranger, médecins en tête, est un des rares moyens d’accumuler des devises. Sous la botte d’un système tyrannique à parti unique, le Parti Communiste Cubain, Cuba est un pays condamné à la faim et à la misère.

Comme le rappelle le journal Le Point, ce système d’exploitation n’a rien à envier au servage médiéval et que l’ONU qualifie « d’esclavage moderne ».

Le Point :

Pour le financer, Cuba exporte ses médecins, et confisque 75 à 80 % de leur salaire. Une organisation qui a rapporté 6,398 milliards de dollars en 2018. Dans un rapport de 2020, l’ONU évoque « une forme de travail forcé qui s’apparente à de l’esclavage moderne ». Deux ONG, les Défenseurs des prisonniers cubains et l’Union patriotique de Cuba (Unpacu), ont porté plainte devant la Cour pénale internationale. Elles sont rejointes par plusieurs centaines de médecins dissidents.

Raul Castro, le président Miguel Diaz-Canel et plusieurs ministres sont accusés de « crimes contre l’humanité pour faits d’esclavagisme » et de « menacer, terroriser, forcer et détruire » ceux qui tentent de s’y soustraire. 93,48 % des médecins cubains affirment qu’ils s’échapperaient s’ils le pouvaient.

Mais ils sont les jouets de la dictature, qui confisque leurs passeports et utilise leur famille comme moyen de pression. S’enfuir, c’est renoncer pour toujours à tout contact avec elle. Chaque année, à l’instar de la Corée du Nord, entre 50 000 et 100 000 travailleurs civils sont envoyés à l’étranger pour financer les dépenses du régime.

Cette terrifiante réalité est soigneusement occultée par les médias d’état français qui couvrent avec complaisance l’opération d’agitation et de propagande de Roblin pour le compte du régime communiste cubain. Un régime étroitement allié à une autre dictature, le Venezuela chaviste de Maduro, dont Roblin courtise avec assiduité l’ambassadeur.

Toutes les opérations des services secrets cubains (Dirección de Inteligencia) sur le territoire hexagonal passent par l’ambassade de Cuba à Paris. L’opération d’agitation et de propagande actuelle est sans conteste soutenue au plus haut niveau de l’état communiste.

La passivité affichée par les autorités françaises témoigne d’une sympathie à peine dissimulée pour la tyrannie cubaine en dépit de son alignement sur tous les régimes dictatoriaux de la planète.

Pourquoi une des dernières tyrannies communistes de la planète peut-elle être promue aussi outrageusement par les médias en Bretagne ? Pourquoi Roblin bénéficie-t-il d’une couverture médiatique aussi bienveillante, lui qui se revendique de Staline et Mao, dictateurs dont le bilan des atrocités n’est plus à faire ? À l’évidence, par des complicités personnelles au sein de rédactions compromises, à commencer par Le Télégramme. Recourant de plus en plus régulièrement à des pigistes (mal) formés dans des « écoles de journalisme » où la gauche radicale règne en maîtresse, les passerelles idéologiques au sein de ces médias ne sont plus à créer. L’indifférence ou la connivence des dirigeants de presse, dont Coudurier, font le reste.

Puisque l’on parle de santé publique et de défaillance de son financement, la question se pose de savoir pourquoi le contribuable breton voit encore ses impôts massivement détournés par l’État français pour financer un cartel médiatique qui promeut des régimes aussi criminels que la Cuba communiste. Pour les Bretons qui veulent de véritables solutions pour accéder aux soins, cette instrumentalisation de leurs souffrances par des agents marxistes au service d’un régime étranger aussi odieux que Cuba apparaîtra tôt ou tard pour ce qu’elle est : une cynique escroquerie.

Ewen Broc’han

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By La rédaction

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