Le 31 mars 2024, Alice Richard, une Bretonne de 24 ans, a été mortellement fauchée sur un passage piéton du port de Brest par Marc-André Marante, un individu de 25 ans au casier judiciaire chargé. Selon Le Parisien (5 mai 2025), Marante, déjà condamné à huit reprises pour vols, conduite sans permis et trafic de stupéfiants, a été reconnu coupable par le tribunal correctionnel de Brest et condamné à dix ans de prison ferme pour ce crime. Une peine bien légère face à l’horreur des faits, alors que le parquet avait requis douze ans (Le Parisien avec AFP, 5 mai 2025).
Ce soir-là, Alice sortait d’un pub après avoir envoyé un SMS à ses parents pour partager sa « super soirée » (Le Parisien, 5 mai 2025). À 01h50, Marante, lancé à près de 140 km/h en pleine ville dans une course avec deux autres véhicules, l’a percutée, la projetant à 20 mètres. Son ami, Glénan G., a été grièvement blessé. « Ils se sont collés à moi en faisant des appels de phares, c’est le signal de la course. J’ai tapé une accèl’ », a-t-il déclaré à l’audience (Le Parisien avec AFP, 5 mai 2025). Habitué à se filmer sur Snapchat, joint à la main, roulant à vive allure, il a admis avoir « toujours eu le pied lourd » tout en se disant « inconscient » (ibid.).
Ce drame, loin d’être un simple accident, révèle les ravages de l’immigration incontrôlée et du laxisme judiciaire. Marante, allogène et multirécidiviste, incarnait un danger public bien avant ce 31 mars. Le procureur, Véronique Wester-Ouisse, a dénoncé un « être veule » dont le « comportement routier » et la consommation de stupéfiants ne pouvaient mener qu’à une telle tragédie (Le Parisien, 5 mai 2025). Pourtant, il était libre de semer la mort. La mère d’Alice, dévastée, a raconté la « si courte vie » de sa fille, « morte fracassée dans une flaque de sang » (ibid.).
Les deux passagers de Marante, complices par leur fuite, ont écopé de peines dérisoires : deux ans de prison, dont un an ferme, et six mois avec sursis pour non-assistance à personne en danger (Le Parisien avec AFP, 5 mai 2025).
Ce drame atroce est un appel à protéger la Bretagne et son peuple d’une prédation aux visages multiples. Alice Richard méritait de vivre. Ses bourreaux, eux, n’auraient jamais dû avoir l’occasion de briser sa vie. La peine de dix ans prononcée contre Marante sera largement écourtée par les remises de peine et, d’ici quelques années, il pourra de nouveau sévir dans les rues bretonnes. Face à la délinquance importée, il est temps de rendre justice à nos morts avec des peines si terribles que les ennemis de l’ordre social breton n’auront d’autre choix que de quitter notre pays.
Ewen Broc’han
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