« Ils ont tout retourné » : à Lorient, après 250 millions d’euros investis, la maison de quartier de Bois-du-Château prise pour cible

Dans la nuit du 25 au 27 juillet 2025, la maison de quartier de Bois-du-Château à Lorient a été vandalisée et pillée lors d’une série de vols par effraction, forçant sa fermeture temporaire. Cet incident, rapporté par Ouest-France, n’est que le dernier épisode d’une dégradation continue du climat dans ce quartier, marqué par des tensions ethniques et une insécurité croissante.

Une maison de quartier sous perfusion financière

La maison du quartier multiculturel de Bois-du-Château, conçue comme un lieu d’animation sociale et « d’intégration », est emblématique des investissements massifs réalisés dans les quartiers dits « prioritaires », terme politiquement correct pour désigner les enclaves extra-européennes. Selon des estimations basées sur des données publiques, les centres sociaux de Lorient, dont celui de Bois-du-Château, bénéficient de subventions importantes de la mairie, de la « Région » Bretagne et de l’État français via des dispositifs préférentiels.

Des investissements faramineux à Bois-du-Château

Le quartier de Bois-du-Château bénéficie d’un programme de renouvellement urbain d’envergure, soutenu par l’Agence nationale de la rénovation urbaine (ANRU). Selon Les Échos (21/05/2022), ce projet mobilise 250 millions d’euros pour transformer le quartier d’ici 2031.

Voici les détails des sommes investies :

  • 143 millions d’euros pour la construction de 200 logements sociaux neufs, la démolition de tours vétustes (rues Gabriel-Fauré et place Louis-Bonneaud) et la création d’un pôle santé et d’espaces pour artisans (Ouest-France, 24/02/2022).
  • 25 millions d’euros de la mairie de Lorient pour l’aménagement global du quartier, incluant la rénovation des écoles et de la maison de quartier (Ouest-France, 24/02/2022).
  • 10 millions d’euros pour le projet « L’Orée du Bois », comprenant 63 logements, une maison médicale et un commerce, livrés en 2024 (Ouest-France, 01/12/2022).
  • 50 millions d’euros de subventions de l’ANRU, Action Logement, la Caisse des Dépôts, l’ANAH, la Région Bretagne et le Département du Morbihan (Ouest-France, 01/05/2023).
  • 15 millions d’euros pour la rénovation spécifique des écoles et de la maison de quartier, prévue pour 2027 (Ouest-France, 24/02/2022; Le Télégramme, 28/06/2025).

En outre, le programme « Quartiers résilients » alloue 180 millions d’euros supplémentaires pour de nouveaux bâtiments, services et espaces verts, faisant de Bois-du-Château le seul quartier breton sélectionné pour ce dispositif (Ouest-France, 01/05/2023).

Ces investissements incluent des projets comme une antenne de police municipale, une minicrèche de 12 berceaux et une centrale photovoltaïque pour 133 logements (Ouest-France, 19/07/2024). À cela s’ajoutent les coûts annuels de fonctionnement de la maison de quartier, estimés à plusieurs centaines de milliers d’euros, financés par la mairie et des subventions régionales pour des activités socioculturelles (Le Télégramme, 22/01/2024).

Ces dépenses, censées favoriser le « vivre-ensemble », un autre terme politiquement correct désignant la coexistence forcée avec des populations extra-européennes, n’empêchent pas les dégradations répétées, comme celles survenues fin juillet 2025, qui ont nécessité des réparations estimées à plusieurs dizaines de milliers d’euros. Les riverains, cités par Ouest-France, décrivent une « détérioration du climat » depuis des semaines, marquée par des incivilités et des actes de vandalisme. Ces incidents révèlent l’échec d’une politique qui privilégie le saupoudrage financier à une véritable gestion des problématiques sociales.

Un quartier marqué par les tensions ethniques

Bois-du-Château n’en est pas à son premier épisode de violence. Ce quartier, caractérisé par une forte concentration de populations immigrées, a été le théâtre de tensions ethniques récurrentes. En 2020, des affrontements violents entre communautés avaient déjà secoué Lorient, avec des échauffourées impliquant des groupes issus de l’immigration, souvent passés sous silence par les autorités pour éviter d’attiser les débats. Plus récemment, des incidents similaires dans d’autres quartiers ethniques en Bretagne, comme à Brest ou à Roazhon (Rennes), ont mis en lumière une montée des violences liées à des rivalités ethniques, alimentées par une politique migratoire permissive.

Ces événements, loin d’être isolés, traduisent une fracture sociale que les financements publics massifs n’ont pas réussi à résorber, bien au contraire.

Une gabegie électoraliste ethno-communautaire au détriment des Bretons

Les sommes englouties dans Bois-du-Château et d’autres quartiers similaires ne servent pas les intérêts des Bretons, mais visent à acheter la paix sociale en favorisant des populations immigrées au détriment des besoins de la population autochtone. Pendant ce temps, des secteurs vitaux pour la Bretagne, comme la préservation de la langue et de la culture bretonnes, sont sous-financés. À titre d’exemple, le Diplôme d’Études Celtiques de l’Université de Rennes 2, un pilier de l’identité bretonne, est menacé par des coupes budgétaires, tandis que des millions d’euros sont dilapidés dans des projets sociaux inefficaces à Bois-du-Château.

Cette politique, orchestrée conjointement par la mairie de Lorient, la « Région » Bretagne et l’État français, reflète une vision clientéliste qui nie les aspirations du peuple breton. Les subventions massives accordées aux quartiers ethniques, sous couvert de « cohésion sociale », masquent une réalité : elles servent à maintenir un électorat captif pour les partis de gauche hexagonaux, ainsi que l’État français, et à apaiser les tensions sans s’attaquer aux causes profondes, comme l’immigration incontrôlée.

Pour une politique bretonne, par et pour les Bretons

La Bretagne doit retrouver la maîtrise de ses ressources et de son destin. Plutôt que de dilapider des fonds publics dans des projets communautaires électoralistes, les priorités doivent être recentrées sur les besoins des Bretons : soutien à l’enseignement de la langue bretonne, préservation du patrimoine culturel, développement économique et sécurité pour tous.

Les incidents de Bois-du-Château montrent que l’approche actuelle, basée sur des subventions colossales prélevées sur les travailleurs bretons, est un échec. Une politique bretonne implique de mettre fin à ce clientélisme et de privilégier les intérêts du peuple breton en Bretagne.

Budig Gourmaelon

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By La rédaction

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