« Nous voulons que l’Europe reste européenne » : Donald Trump met en garde contre l’immigration massive et les États qui, comme la France, deviennent hostiles à notre identité

La Maison Blanche a publié sa stratégie de sécurité nationale dans un document officiel publié aujourd’hui sur son site officiel. Parmi les priorités stratégiques américaines figurent l’Europe dont le gouvernement américain estime qu’elle risque désormais de disparaître en tant que « civilisation » sous l’effet de l’immigration massive.

« L’Europe continentale a perdu des parts du PIB mondial, passant de 25 % en 1990 à 14 % aujourd’hui » souligne le document qui dresse le constat d’un déclin économique rapide de l’économie européenne, dépassée par les USA et la Chine. Toutefois, ce déclin n’est pas ce qui préoccupe le plus les États-Unis. Le document poursuit en évoquant une « perspective réelle et plus sombre d’une disparition de la civilisation » européenne causée par « les politiques migratoires qui transforment le continent et créent des conflits ».

L’attitude des États ouest-européens est sévèrement critiquée à ce sujet, les USA voyant monter « la censure de la liberté d’expression et la répression de l’opposition politique » tandis que « l’effondrement des taux de natalité et la perte des identités nationales et de la confiance en soi » s’établissent durablement, empêchant le continent européen de répondre aux menaces.

« Si les tendances actuelles se poursuivent, le continent sera méconnaissable dans 20 ans ou moins » tranchent les responsables de la sécurité des États-Unis. « Dans ces conditions, il est loin d’être évident que certains pays européens disposeront d’économies et d’armées suffisamment solides pour rester des alliés fiables » anticipe le gouvernement américain. « Nous voulons que l’Europe reste européenne, qu’elle retrouve sa confiance en sa civilisation » ajoute encore le document.

« À long terme, il est plus que plausible que d’ici quelques décennies au plus tard, certains membres de l’OTAN deviendront majoritairement non européens. À ce titre, la question reste ouverte de savoir s’ils considéreront leur place dans le monde, ou leur alliance avec les États-Unis, de la même manière que ceux qui ont signé la charte de l’OTAN », anticipant une islamisation irréversible de certains États qui deviendraient hostiles à l’Amérique, première puissance occidentale.

Ce dernier point soulève une évidence : des États de plus en plus fortement afro-islamisés comme la France deviendront inévitablement hostiles à la civilisation européenne et occidentale à mesure qu’ils sont repeuplés de migrants extra-européens. La Bretagne, exposée à cette menace sous l’effet de la politique que lui impose l’État français, peut et doit, comme nation celtique située stratégiquement sur l’ouverture atlantique de l’Europe, préserver son caractère européen et développer des alliances dans ce but. Cette modification profonde de la politique étrangère américaine est à saluer.

Budig Gourmaelon

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By La rédaction

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