Du 11 au 18 octobre 2025, la ville de Pempoul (Paimpol) accueille la 4e édition du festival Les Mots de l’Exil. Organisé par le Collectif de Soutien aux Migrants du Goëlo (CSMG), en partenariat avec L’Image qui Parle et la Fabrique à Paroles, cet événement culturel met l’accent sur la promotion de l’immigration de masse. Projections de films comme Au carrefour des rêves, témoignages de psychothérapeutes, concerts multiculturels et une causerie avec l’écrivain Daniel Pennac le 17 octobre : voilà le programme.
Propagande
Daniel Pennac, invité, est un militant : engagé auprès de La Cimade et SOS Méditerranée, il a publié Eux, c’est nous (2015), un plaidoyer en faveur de la submersion migratoire. Ce discours occulte les réalités : des centaines de milliers de demandeurs d’asile par an dans l’Hexagone, impacts économiques et sécuritaires désastreuses, et une opinion publique majoritairement opposée.
Des subventions massives
Le CSMG, association créée en 2020 pour organiser l’immigration de masse (démarches administratives, hébergement), repose sur des financements externes non toujours transparents.
Le festival bénéficie d’aides très importantes pour imposer le narratif pro-remplacement :
- Ministère de la Culture : Subventions ponctuelles jusqu’à 50 000 € pour projets inclusifs et innovants.
- « Région » Bretagne : 10 000 à 100 000 € pour festivals favorisant le dialogue interculturel, via le portail « Mes Aides en Ligne ».
- Fonds Asile, Migration et Intégration (UE – FAMI) : Soutien à l’intégration migratoire via des opérateurs.
- Réseau associatif : Partenaires comme France Terre d’Asile et La Cimade reçoivent 65 M€ annuels (dont 70 % de l’État, selon iFRAP 2022) ; budget global Immigration-Asile : plus de 1 milliard € par an.
Dans un contexte de crise budgétaire de grande ampleur, ces fonds publics financent un discours radical et marginal sans l’aval des contribuables bretons. Il est urgent d’y mettre fin.
Ewen Broc’han
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