La décision de La Poste de suspendre la distribution de courrier au 45, rue Auguste Renoir à Saint-Nazaire (Ouest-France) illustre un problème symptomatique d’une gestion des services publics centralisée et déconnectée des réalités bretonnes.
La Poste, autrefois symbole de proximité, abandonne ici sa mission fondamentale en raison d’un problème localisé d’insécurité générée par l’immigration de masse : la prolifération des trafiquants de drogue. Cette décision, plutôt que d’apporter une solution, stigmatise davantage un quartier et sa population bretonne, la privant d’un service essentiel. Cet épisode souligne aussi la fragilité des services publics et leur incapacité à répondre efficacement aux besoins des populations dans des contextes difficiles.
Saint-Nazaire, comme d’autres villes bretonnes, souffre d’un désengagement des services publics sous l’emprise d’une gestion parisienne. Cet événement met en lumière l’urgence pour la Bretagne de reprendre le contrôle de ses propres institutions et de ses services publics. Dans une Bretagne souveraine, des solutions locales adaptées, en lien direct avec les besoins des habitants, pourraient être mises en œuvre. Par exemple, la mise en place d’un bureau de distribution temporaire à proximité immédiate pour éviter que les habitants ne soient privés de courrier, une collaboration avec la police municipale pour sécuriser la distribution et, plus important, une politique d’expulsion systématique vers la France des criminels étrangers qui se trouvent en Bretagne.
Budig Gourmaelon
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