Évoqué par le journal Le Parisien, l »incident survenu le 1er juin à Nantes, où un automobiliste a été blessé par balles après une simple incivilité routière, illustre de manière criante la violence ethnique qui gangrène notre société, particulièrement sur les routes. Cet événement, qui a failli tourner au drame, met également en lumière les carences de l’État français dans la gestion de la sécurité publique.
Un Tunisien de 28 ans, connu des services de police sous de multiples alias, a été interpellé le 4 juin à Rezé, dans la banlieue nantaise, après avoir tiré sur un autre conducteur qui l’avait klaxonné pour une manœuvre dangereuse. L’agression, survenue en plein jour au centre-ville de Nantes, a impliqué l’utilisation d’une arme de poing de calibre 7,65 mm, avec des tirs sur le pneu du véhicule de la victime, des coups portés au pare-brise, et des blessures infligées. Lors de la perquisition de son domicile, les forces de l’ordre ont découvert non seulement l’arme du crime, mais aussi plusieurs autres armes de poing et une réplique de fusil d’assaut, révélant un profil dangereux et récidiviste. Ce suspect, déjà connu pour avoir blessé sa concubine au couteau en 2022 et agressé une femme avec un sabre, incarne les failles du système judiciaire et policier français qui peine à neutraliser les individus violents avant qu’ils ne commettent de nouveaux actes.
Seule une politique nationaliste, centrée sur la sécurité des Bretons et la défense de notre pays, peut inverser cette tendance. Il est temps que la Bretagne dispose de son État, pleinement souverain, capable de gérer ses propres affaires de sécurité et de justice, pour garantir la paix et la prospérité de notre peuple.
Budig Gourmaelon
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