Selon Le Parisien (R.T. avec AFP, 17 avril 2025), le 17 avril 2025, une nouvelle flambée de violence a frappé Rennes, en plein cœur de la dalle Kennedy. Trois hommes armés ont fait irruption dans un restaurant Subway, connu pour être un haut lieu du trafic de stupéfiants, et ont ouvert le feu, blessant quatre personnes, dont trois par balles. Ce drame, loin d’être un fait isolé, est le fruit d’une politique migratoire et sécuritaire désastreuse imposée par l’État français et relayée par la gauche rennaise, avec à sa tête la maire Nathalie Appéré.
Un chaos importé par l’État français
Charles Compagnon, élu rennais présent lors de l’attaque, témoigne dans Ouest-France : « J’ai vu trois personnes arriver, dont une avec un fusil d’assaut. On s’est couché au sol. » Ce récit glaçant, où des tirs visent jambes et ventres, illustre une sauvagerie importée, incompatible avec les valeurs de paix et de cohésion de la Bretagne. Les cris des jeunes paniqués – « Ce n’est pas nous ! » – résonnent comme un aveu d’impuissance face à ces bandes qui règnent par la terreur.
La dalle Kennedy, jadis espace de vie breton, est aujourd’hui le théâtre d’une violence endémique, alimentée par des bandes immigrées que l’État français a laissées s’installer en Bretagne sans contrôle. Ces groupes, souvent liés au trafic de drogue, imposent leur loi dans des quartiers abandonnés par les autorités. Les coups de feu de janvier dernier, suivis de cette nouvelle fusillade, ne sont que les symptômes d’une gangrène entretenue par des décennies de laxisme migratoire. En ouvrant grand les portes à une immigration massive et non maîtrisée, l’État français a transformé des pans entiers de Rennes en zones de non-droit, où les Bretons vivent dans la peur.
La gauche rennaise, complice du désastre
La responsabilité de ce chaos incombe aussi à la maire de Rennes, Nathalie Appéré, et à la gauche rennaise, qui, par dogmatisme multiculturaliste, ont fermé les yeux sur la montée de l’insécurité. Loin de protéger les Rennais, Appéré se contente de déplorer l’événement, vantant l’arrivée rapide de la CRS 82, comme si une présence policière temporaire pouvait panser les plaies d’une politique migratoire irresponsable. « Tout le monde est choqué », déclare-t-elle, sans jamais remettre en question les causes profondes : l’implantation de populations déracinées, livrées à elles-mêmes, et l’absence de fermeté face aux trafics qui gangrènent la ville.
La gauche rennaise, en soutenant une vision angélique de l’immigration, a trahi les Bretons. En refusant de nommer le problème – ces bandes immigrées qui sèment la peur – elle s’est faite complice de l’État français dans la destruction de l’identité et de la sécurité bretonnes. Les blessés du Subway, pris en charge au CHU de Rennes, sont les victimes collatérales de cette idéologie déconnectée.
Une Bretagne à reconquérir
Face à cette spirale de violence, il faut un sursaut breton. La Bretagne ne peut plus être le laboratoire des politiques migratoires hasardeuses de l’État français ni le terrain de jeu des bandes criminelles allogènes. Il est temps d’exiger une politique sécuritaire ferme : création d’un ministère de l’intérieur et d’une police bretons, expulsion des délinquants étrangers de Bretagne, démantèlement des réseaux de trafics et protection des Bretons dans leurs quartiers. La gauche rennaise, par son inaction, a prouvé son incapacité à défendre notre peuple. À nous, Bretons, de reprendre en main notre destin pour faire de la Bretagne une terre de paix, fidèle à son identité.
Budig Gourmaelon
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