À l’école Clôteaux, située dans le quartier de Bréquigny à Roazhon (Rennes), un incident survenu le 10 octobre dernier a perturbé le fonctionnement de l’établissement. Des parents d’une élève musulmane ont exigé un changement de classe pour leur fille, refusant qu’elle soit enseignée par un homme. Face au refus de l’école, la discussion a tourné à l’affrontement, avec des menaces de mort indirectes proférées à l’encontre de l’instituteur. L’enseignant est en arrêt maladie depuis plusieurs semaines, et l’école fermera symboliquement ses portes ce vendredi 21 novembre pour une journée de grève en signe de solidarité.
L’entrevue, initialement destinée à discuter du placement de l’enfant, a rapidement dérapé lorsque les parents ont insisté pour un transfert vers une classe dirigée par une enseignante et non par un enseignant, et ce nom des préceptes coraniques que la famille exige voir observer. L’établissement a maintenu sa position, refusant toute cession à une pression parentale. Les enseignants du groupe scolaire Clôteaux, rejoints par ceux des écoles Colombier et Pablo Picasso, observeront une grève ce vendredi, entraînant la fermeture des trois sites. L’objectif affiché est de « retrouver la sérénité » et d’obtenir un éloignement de la famille, potentiellement via un changement d’école pour l’enfant.
Cette action symbolique, si elle attire l’attention médiatique, ne résoudra rien. Déplacer les étrangers indésirables et leur progéniture d’un établissement à un autre dans l’espoir que les fauteurs de troubles allogènes changent d’attitude est une illusion, sinon de la lâcheté. C’est là le résultat de l’impasse dans laquelle l’État français plonge la Bretagne en lui imposant une immigration inassimilable tout en se lavant les mains de ses conséquences.
La société bretonne, dépourvue de son propre gouvernement, reste paralysée face à ce processus de rupture culturelle et démographique. Il est urgent pour la Bretagne de prendre en mains le contrôle des flux migratoires auquel son territoire est exposé, ce que seul un gouvernement breton enfin maître des questions de sécurité intérieure et de ses frontières extérieures serait à même de faire. La Bretagne, consciente de ces dangers, doit établir un rapport de force avec l’État central afin de mettre un terme à ce véritable délestage migratoire auquel il se livre. Cela passe inévitablement par la constitution d’un gouvernement breton.
Budig Gourmaelon
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je reste calme ……une vérité…..au bateau a MARSEILLE …nous sommes en FRANCE ….foutez ces gens a la porte