À Roazhon (Rennes), le quartier de Villejean, largement repeuplé par l’immigration extra-européenne, s’enlise dans une criminalité galopante où le narco-trafic, impose son emprise. Le 20 octobre 2025, les commerçants du cours Kennedy ont été frappés par une nouvelle audace : une lettre maladroite, signée « cartel V », exigeant des paiements réguliers pour une soi-disant « protection » sous peine de représailles.
Ce racket, typique des organisations criminelles, illustre une réalité sordide : les auteurs veulent exploiter la peur pour extorquer de l’argent, menaçant de violences ou de destructions ceux qui refusent de payer. Ce système de « protection » mafieuse, décrit dans Ouest-France, repose sur l’intimidation pure : les racketteurs, ici deux mineurs de 16 et 17 ans interpellés puis relâchés, prétendent offrir une « sécurité » contre un tribut hebdomadaire, alors que le vrai danger émane d’eux-mêmes.
Concrètement, les criminels approchent leurs cibles – souvent des commerçants dans des zones vulnérables – et exigent des paiements réguliers, présentés comme une garantie contre des « problèmes » (incendies, agressions, dégradations). Refuser équivaut à s’exposer à des actes de vengeance, parfois violents. L’argent récolté alimente les activités illégales du groupe, comme le trafic de drogue, tout en renforçant son emprise sur le quartier. Ce mécanisme, typique des mafias (italienne, russe, ou cartels sud-américains), prospère dans des enclaves multiculturelles que l’État français a organisé dans les villes bretonnes en y déversant une immigration extra-européenne massive.
À Villejean, cette pratique s’inscrit dans un narco-trafic endémique où le cannabis et la cocaïne inondent les rues. Le « cartel V », avec ses menaces mal écrites (« ce n’est pas une option »), recrute des individus désœuvrés, souvent immigrés, pour jouer les intermédiaires et brouiller les pistes. L’ampleur du problème est terrifiante. À Roazhon (Rennes), comme dans d’autres villes submergées par l’immigration extra-européenne – Marseille ou Seine-Saint-Denis –, le narco-trafic, boosté par les arrivées encore plus massives depuis 2015, transforme des quartiers entiers en bastions ethno-mafieux. Les commerçants, coincés, paient pour éviter des représailles, alimentant un cycle infernal où l’argent du racket finance encore plus de drogue. Sans une réponse ferme en Bretagne – expulsions des criminels étrangers et contrôle strict des frontières bretonnes –, Roazhon (Rennes) risque de devenir un fief du crime organisé, où la peur étouffe la vie bretonne. Ce « cartel V » n’est que l’écume d’un fiasco migratoire qui importe la violence et exporte le chaos.
Ewen Broc’han
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