05
Nov
« En tant que femme, passée une certaine heure, je ne me sens pas du tout à l’aise de marcher dans la rue », témoigne Élodie, 55 ans. Elle vit dans une petite rue perpendiculaire à la rue de Nantes, au sud de Rennes. « Ce secteur est éteint tôt la nuit. Et malgré l’achat d’un vélo électrique pour rentrer, je me sens en insécurité. » Elle raconte : « Je suis rennaise et j’ai vu la dégradation de la sécurité dans la ville. Je ne prends plus le bus et le métro pour me retrouver seule dans le noir…