02
Mai
Face à la colère grandissante de la population nantaise, l'Etat français avait prétendu vouloir en finir avec la violence de l'extrême-gauche hexagonale établie dans la capitale bretonne. En 2022, Gérald Darmanin, ministre de l'intérieur français, avait annoncé la dissolution de l'organisation d'ultra-gauche "Nantes Révoltée", une dissolution - fait exceptionnel - qui ne fut jamais suivie d'effet. Visiblement sûre de son impunité, la même nébuleuse anarcho-communiste s'est réunie hier, mercredi 1er mai, pour se livrer à de nouvelles violences de rue contre divers commerces nantais. Sur Twitter, les membres de Nantes Révoltée n'ont pas caché leur proximité avec les évènements. 💥…
