07
Nov
Dans les ruelles étroites de la rue Haute, au cœur du vieux Kemper (Quimper), se niche l'atelier de Stéphane Larhant, artisan joaillier. Les avis sur Pages Jaunes le dépeignent en "joaillier créatif", un artisan qui a reçu la distinction de maître artisan en 2013, une reconnaissance qui devrait, en théorie, honorer le savoir-faire breton. Mais derrière ces façades polies, Stéphane Larhant révèle un visage bien plus sombre : celui d'un camelot qui tire profit de l'image de la Bretagne tout en crachant ouvertement sur l'un de ses piliers essentiels, la langue bretonne. L'affaire a éclaté publiquement sur Facebook, sous un…
